Psychomotricien

OPTIMISER LA RECHERCHE

Depuis la suppression numérus clausus, l’emploi est encore assuré, mais les temps partiels sont monnaie courante. Il n’y a, pour ainsi dire, pas de chômage dans cette profession où les débouchés existent, tant en service de petite enfance (CMPP, IME, autisme, difficultés scolaires de l’enfant), qu’en gériatrie (rééducation motrice et psychomotrice). On peut aussi se tourner, après une formation spécialisée, vers le métier d’instructeur de locomotion. Il existe une demande de prise en charge émanant des familles qui n’est pas toujours prise en compte du fait du manque de spécialistes. Le coût des études dans le privé tend à être dissuasif, s’agissant en outre d’une discipline de vocation. Les Sessad départementaux (autisme…) figurent parmi les plus gros recruteurs. Il y a bien d’autres lieux d’exercice. A noter que les CREAI (Centres Régionaux d’Etudes, d’Actions et d’Informations en faveur des personnes en situation de vulnérabilité) et autres associations spécialisées d’études et de formation relaient les offres au niveau régional (ex CREAI Hauts-de-France, CREAI Bretagne, IREIS Auvergne-Rhône-Alpes). Pour ceux qui souhaitent s'intaller en libéral, il est préférable de rejoindre une Maison de santé. Il est possible aussi de partager son temps entre l'activité libérale et l'activité salariée.