Animateur radio • Animateur TV • Assistant de production • Assistant de rédaction et de programmation • Assistant régie pub • Cadreur • Chef d'antenne • Chargé de conduite d'antenne • Chargé de planning TV • Chargé de production • Chargé de programmation • Chargé d'exploitation antennes • Chef de groupe programmation • Chef de production • Chef de publicité • Chef d'édition • Chroniqueur • Consultant médias • Data journaliste • Documentariste • Éditorialiste • Journaliste envoyé spécial • Journaliste pigiste • Journaliste podcast • Journaliste radio • Journaliste reporter d'images JRI • Journaliste télévision • Monteur • Opérateur de prise de vue • Pilote de drone • Programmateur musical • Présentateur • Réalisateur de radio, télévision • Rédacteur en chef • Responsable d'antenne • Responsable d'Édition (Bocalier) • Standardiste • Technicien de diffusion • Technicien de régie finale • Technicien de reportage • Technicien radio • Technicien-réalisateur

OPTIMISER LA RECHERCHE

En radio, on débute souvent par des stages (même café), puis des piges comme bénévole. Il ne suffit pas d’être au bon endroit, au bon moment, il faut aussi se donner à fond, montrer sa détermination, être curieux et s’engager. Les bonnes écoles vous donneront les informations et les contacts nécessaires pour postuler (maquette, bande démo). Faire de la radio pour commencer est formateur. Un jour, on est appelé pour remplacer au pied levé un animateur chevronné en congé ou en maladie. Puis, un poste se libère et c’est ainsi que l’on peut s’ouvrir les portes d’un monde qui vit en «décalage horaire». Ensuite, la carrière se construit pas à pas, il faut sans cesse faire ses preuves, saisir les opportunités qui se présentent car la concurrence est à l’affût. Les passionnés qui n’ont ni les moyens, ni l’envie, de faire une école de journalisme ont intérêt à faire du bénévolat pour commencer, dans une web radio ou dans une radio associative comme radio MNE à Mulhouse qui recrute des volontaires. Faire ensuite du reportage terrain en radio ou télévision crée aussi des opportunités. La curiosité, l’intérêt pour les gens, l’esprit d’équipe, la force de travail, le goût pour la prise de risque, le culot sont des «agents facilitateurs». A l’audace, qui paye ici plus qu’ailleurs, s’ajoute la chance de se trouver au bon endroit, au bon moment et de rencontrer les bonnes personnes. Les radios associatives sont représentées au niveau national par la CNRA, et par le SIRTI pour les radios indépendantes privées. Dans les radios associatives, grâce aux aides du FSER, les animateurs reporters sont plus souvent salariés à temps plein. En radio, c’est votre voix qui compte, en télévision c’est plutôt l’aura, le tempérament, l’image. En télévision, les modes de recrutement sont plus ou moins «codifiés» selon que l’on s’adresse à une télévision locale ou à une chaîne de premier plan. Ainsi, pour un poste de journaliste présentateur, animateur TV ou chroniqueur, il faut une bande démo et se préparer à passer des castings, beaucoup de castings. Le métier étant basé sur les contacts, il faut d’abord s’appuyer sur son réseau d’école, ses relations de stage. Le printemps est la meilleure saison pour postuler. Dans la ruche, les abeilles s’activent, mais là aussi beaucoup de bénévoles. Les chaînes d’info continue (BFMTV, LCI, CNews) ont beaucoup recruté ces derniers temps. De jeunes journalistes ont pu ainsi mettre le pied à l’étrier. Les télévisions locales, malgré les difficultés qu’elles traversent, peuvent être une rampe de lancement. D’une manière générale, il faut oser mettre le pied en travers de la porte. Dans ce milieu, on apprécie les passionnés qui n’ont pas la grosse tête et les dégourdis avec une grosse envie, du culot. Aujourd’hui, les chaines n’hésitent pas à donner leur chance à des jeunes diplômés passionnés, débrouillards, talentueux et qui savent écrire et monter un sujet rapidement. Le sésame, c’est aussi et bien sûr le stage de 3ème année d’école de journalisme. BFMTV recrute assez souvent par ce biais, des piges pour commencer si votre profil a tapé dans l’œil du recruteur ou une pige test rémunérée. On peut s’en sortir en multipliant les piges. Si vous voulez travailler comme JRI, il faut se préparer à tout, être prêt à battre le pavé sous tous les temps. Si vous avez un compte Facebook ou Twitter, faites attention à vos écrits et à vos propos. Un recruteur ne manquera pas de tenter de vous «situer» personnellement et politiquement. Quoique… les polémistes talentueux et le journalisme d’opinion ont le vent en poupe en ce moment. La maîtrise de la technologie broadcast (Dalet Galaxy) peut ouvrir des portes.

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