Android Engineer • Architecte Flash • Chef de projet agile • Chef de projet web MOA • Chief technical officer (CTO) • Coach agile • Codeur • Community manager • Concepteur web • Consultant AMOA SI Java Jee • Développeur Android • Développeur Back-End • Développeur C# • Développeur d'applications mobiles • Développeur Drupal • Développeur Flex/AS3 • Développeur Front-End • Développeur Full Stack • Développeur JavaScript, Node.js • Développeur mobile iOS/Android • Développeur No-code (Nocode Maker) • Développeur NodeJS • Développeur Php/ MySql • Développeur React • Développeur responsive design • Développeur Ruby • Développeur web • DevOps • Directeur de projet internet • Expert technique mobilité open-source • Expert technique J2EE • Lead developpeur Drupal/Symfony2/C# • Lead UX • Intégrateur web • Modérateur • Motion designer • Nocode Ops • Product manager • Product owner • Responsable de clientèle web • Responsable de domaine applicatif JAVA, J2EE • Social listening manager • Scrum master • UI/UX Designer • Webdesigner • Webmestre • Webmestre éditorial

OPTIMISER LA RECHERCHE

80.000 postes resteraient vacants chaque année dans le numérique. Pour tous ces métiers, l’approche traditionnelle (candidature spontanée par courrier, par mail) est has been. Plus globalement, c’est maintenant sur les réseaux sociaux que tout se passe. Nous sommes entrés dans l’ère du recrutement collaboratif, souvent à partir d’une page employeur sur un réseau social, où salariés et DRH communiquent sur leurs besoins immédiats et urgents. Quelle que soit la taille de l’entreprise, les offres circulent partout, sur Facebook, Twitter, LinkedIn, sur les sites des écoles ou encore sur des sites comme emploi.frenchweb.fr. L’offre étant encore pléthorique sur le digital, des dizaines de cabinets de recrutements ultra-spécialisés comme Blue Search ont pu émerger, les entreprises étant prêtes à mettre la main à la poche pour attirer les pépites du numérique. Quant aux startups, scale-up, elles sont plus intéressées par les nouvelles approches du recrutement, (marque employeur, réseaux de cooptation, street marketing…). Elles communiquent sur Welcometothejungle. Les offres actuelles des cabinets IT ciblent essentiellement les développeurs (front-end, back-end, PHP, Node.js et idéalement, full stack). Sursollicités, ces profils se font rares qui ressentent moins le besoin de se rendre visibles sur les réseaux sociaux et forums ultra-spécialisés. Refuser d’y figurer ou verser dans le ghosting, c’est toujours un risque, d’autant que les écoles spécialisées se multiplient et que l’on forme de nouvelles cohortes pour répondre aux besoins. Si vous êtes en emploi ou si avez trouvé mieux, autant le dire franchement au recruteur. Pour l’heure, outre de développeurs, on manque aussi de growth hackers, de data scientists, de product owners, de product managers, d’UI/UX designers. Bref, pour trouver les pépites qui font défaut actuellement, les sourceurs sont prêts à tout, et même à surenchérir. Ils font leur marché sur des plateformes pour freelances comme Malt, d’où l’intérêt pour les professionnels du digital d’y figurer. Pour faire court, votre prix a de bonnes chances d’être le leur. Un dernier conseil pour finir… prenez le temps de participer aux conférences, meetups, apéros web dans votre secteur, autant pour rencontrer du monde (des chasseurs de tête) que pour se tenir au courant des nouveautés et discuter technique. Grenoble est par exemple réputée pour son Snowcamp, Sophia-Antipolis pour son Riviera Dev, et Chambéry pour le Chambé-Carnet (Chambéry) avec ses apéros web. Les développeurs peuvent se rendre aux Devfest(s) de Toulouse, Strasbourg ou Nantes.