Plus d’emplois, mais peu d’emplois nouveaux pour l’heure, en dehors de ceux qui existent déjà chez les industriels de la chimie, la chimie verte n’ayant pas généré de métiers révolutionnaires mais plutôt des métiers qui virent au «vert». Il s’agit le plus souvent de métiers qui existent déjà mais qui évoluent pour s’adapter aux nouveaux enjeux de la chimie durable. Les salaires sont en général plus élevés que dans l’industrie chimique classique, les domaines émergents nécessitant de nouvelles compétences à forte valeur ajoutée. La formation elle-même s’adapte au fur et à mesure (nous avons maintenant des masters chimie verte). Les profils adéquats sont difficiles à trouver et l’on compte sur l’appareil de formation pour produire ces profils à valeur ajoutée. En attendant, ingénieurs et chercheurs et plus généralement, les spécialistes en R&D sont en première ligne. Communiquer sur les réseaux sociaux est impératif. Les cabinets de recrutement comme DSF proposent quelques postes. On embauche en agro-industrie comme chez ARD.