On observe une réelle précarité de l’emploi pour les nouveaux actifs qui ont plus de difficultés à accéder à des postes stables et qui se voient contraints d’enchainer les CDD. Les nouvelles diplômées peuvent connaître le chômage. Il s’agit probablement d’un effet du relèvement du numerus clausus des études de maïeutique au début des années 2.000 (un gel du numérus clausus était intervenu en 2011). Les choses devraient encore évoluer cette année. Pour l’heure, la profession a quand même arraché la reconnaissance d’un grade master, avec une revalorisation des salaires à la clé, ainsi qu'une revalorisation des tarifs des actes et consultations des sages-femmes exercant en libéral (cf : avenant 7).