Les bons professionnels ne connaissent pas le chômage. Les besoins ne sont pas couverts, notamment en milieu rural, où de nombreuses affaires sont mises en vente sans trouver preneur. C’est pourtant un métier de reconversion à prendre en compte. Une solide formation est bien sûr nécessaire avant de se lancer. Les Confédérations régionales relaient les postes à pourvoir. Penser aussi à la grande distribution qui peine à recruter. Les entreprises de l’agroalimentaire qui fournissent la restauration collective recrutent aussi des charcutiers expérimentés. Le site de Pôle emploi affiche plus de 2.700 postes.