Acupuncteur • Aromathérapeute • Art thérapeute • Auriculothérapeute • Bio-Énergéticien • Coach bien-être • Coach en développement personnel • Coach fitness • Coach sportif • Chiropracteur • Conseiller bien-être • Conseillère en aromathérapie • Conseiller en image • Énergéticien • Health coach • Herboriste • Hydrothérapeute • Hypnologue • Hypnothérapeute • Kiné Spa • Kinésiologue • Life coach (Coach de vie) • Naturopathe • Phytothérapeute • Praticien en psychopédagogie positive • Praticien en shiatsu • Psychopraticien en thérapies brèves et hypnothérapie • Psychanalyste • Psychothérapeute • Professeur de Yoga • Réflexologue • Relaxologue • Relookeur • Sonothérapeute • Sophrologue • Sophro-relaxologue • Sylvothérapeute • Tatoueur-pierceur • Technicienne spa • Thérapeute conjugal • Yogathérapeute

OPTIMISER LA RECHERCHE

Réaliser une étude de marché avant de créer son activité en libéral (auto-entrepreneur, portage salarial) et ouvrir salon est impératif. Il ne faut rien prendre à la légère car l’accès à ces métiers nécessite d’en passer par des formations certifiantes, lesquelles ont un coût qu’il faut souvent assumer sur ses propres deniers, car elles ne sont pas toutes éligibles au financement des OPCO. Le CPF peut être mobilisé le cas échéant pour des formations courtes à petit budget. Une fois formé, dûment certifié, on peut tenter l’aventure et ouvrir en libéral, mais c’est aussi un nouveau coût. Ne pas oublier que l’exercice en libéral n’est pas si facile (il faut faire sa com’, tenir sa comptabilité et ne pas compter ses heures, payer ses charges et son loyer…). Pour réduire les frais, on peut utilement rejoindre un pôle, un centre de bien-être. Certaines disciplines permettent de travailler à distance (sophro-coaching…). On peut aussi proposer ses services dans les maisons de retraite haut de gamme, les boutiques bio, les palaces, les hôtels spa, les centres thermaux qui font partie des pistes à privilégier pour mettre à l’épreuve un business plan. Se former de manière rigoureuse, s‘affilier à une fédération, un syndicat ou un organisme représentatif de la profession est un gage de sérieux. Une charte de déontologie, c’est peu ou prou l’assurance de rester «dans les clous», tant vis à vis de son client que de la législation française, s’agissant de pratiques dites non conventionnelles. Comme le conseille Béatrice (cf parole de pros), il est préférable de faire un bout de chemin avec des professionnels bien installés avant de se lancer. Ils sont les mieux placés pour vous aider à choisir la bonne formation, gage de sérieux et de crédibilité. Avoir un site web soigné et bien renseigné est essentiel pour se faire connaître, avec si possible un blog de conseils pour convaincre sur votre expertise. A tout le moins, être présent sur les réseaux sociaux, s’inscrire sur site communautaire comme Resalib ou rejoindre un groupe de networking comme OptimRezo qui a un Groupe bien-être-santé à Paris. Ensuite, il ne faut pas hésiter à démarcher, à faire imprimer des flyers pour un affichage dans les boutiques spécialisées (produits bio, bien-être…). Ne pas hésiter à courir les petits salons spécialisés pour connaître les tendances, pour actualiser le matériel et les pratiques et rencontrer ses pairs, sans oublier bien sûr de se former à d’autres disciplines pour permettre de consolider l’activité.