Charcutier-traiteur • Commis de cuisine charcutier traiteur • Commis en charcuterie • Tripier • Second de cuisine charcutier traiteur • Vendeuse en charcuterie

OPTIMISER LA RECHERCHE

Les bons professionnels ne connaissent pas le chômage. Les besoins ne sont pas couverts, notamment en milieu rural, où de nombreuses affaires sont mises en vente sans trouver preneur. C’est pourtant un métier de reconversion à prendre en compte. Une solide formation est bien sûr nécessaire avant de se lancer. Reprendre une charcuterie qui bat de l'aile ou à céder, pourquoi pas si c'est pour parier sur le "Fait maison" avec le souci de préserver l'héritage et le goût. Si c'est pour se fournir auprès d'entreprises alimentaires, à quoi bon ! puisque la grande distribution le fait mieux que vous. Les produits élaborés maison (pâtés, plats préparés notamment) fidélisent plus sûrement la clientèle. Encore faut-il qu'ils soient bons, sinon excellents et de bonne qualité. Bien sûr, cela demande plus de personnel passionné et chevronné. S'engager dans le label "Préférence commerce" peut aider l'artisan charcutier à faire évoluer son commerce positivement. Dans tous les cas, une étude de marché s'impose en préalable. Les Confédérations régionales relaient les postes à pourvoir. Penser aussi à la grande distribution qui peine à recruter. Les entreprises de l’agroalimentaire qui fournissent la restauration collective recrutent aussi des charcutiers expérimentés. Le site de France Travail affiche plus de 3.000 postes.

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